Innocents de Syrie et d’ailleurs est le titre d'une soirée prévue le 28 mars à Paris. Une manifestation artistique de poésie, peinture, musique et cinéma.
© Thierry Cauwet, avec son autorisation. |
En
octobre 2013, le poète syrien en exil Omar Youssef Souleimane entend au festival international Poètes à Paris où il était invité le long poème qu’AxoDom avait écrit
en découvrant la série du peintre Thierry Cauwet « Massacre en Syrie ».
Quelques semaines plus tard, Omar
traduit en arabe le poème d'AxoDom et le fait publier dans le quotidien
libanais An Nahar (Le Jour). Fin décembre, ils imaginent cette manifestation
artistique.
Avec
la comédienne Marianne Auricoste, ils veulent chanter la
force faible des innocents des guerres de tous temps et de tous lieux en
croisant des poèmes d'Omar, nés de l'exil (« Comme deux oiseaux qu’aucun nid ne séduit », « Je ne peux pas venir », « La mort loin de la mort », inédits), le long poème d'AxoDom (« Temps mort
en Syrie », édité au Nouvel Athanor, in Les Cahiers du Sens, 2013) et d’autres textes
connus ou non, de poètes, d’époques et de géographies divers parmi lesquels :
Pierre Jean Jouve - Juan Gelman - Eluard - Apollinaire - Francisco de Quevedo - Lord Byron - Henri Meschonnic - Bruno Doucey - Baku Yamanoguchi - Mahmoud Darwich ...Intégrées à l'oeuvre collective seront présentées des peintures de Thierry Cauwet, à l'origine du poème « Temps mort en Syrie ».
Enfin
sera projeté le court-métrage « Je ne suis plus personne » réalisé il y a quelques
mois à partir de trois poèmes d’Omar Youssef Souleimane traduits par Lionel Donnadieu. Signé par Elvina
Attali, ce film a été sélectionné au festival Anthropologies Numériques qui aura lieu les 19 et 20 mars prochain au Cube, à Issy-les-Moulineaux, en association avec Les Ecrans de la Liberté.
Les musiciens Stéphane Gallet et, sous réserves, Sébastien Lunghi nous accompagneront en transcrivant leurs émotions sur leurs instruments : nay, tanbur ou guitare...
Juliette Blondelle nous a apporté son oeil de scénographe avertie.
Omar remercie la poétesse Aïcha Arnaout pour la traduction de ses poèmes en français et AxoDom pour leur relecture.
Les musiciens Stéphane Gallet et, sous réserves, Sébastien Lunghi nous accompagneront en transcrivant leurs émotions sur leurs instruments : nay, tanbur ou guitare...
Juliette Blondelle nous a apporté son oeil de scénographe avertie.
Omar remercie la poétesse Aïcha Arnaout pour la traduction de ses poèmes en français et AxoDom pour leur relecture.
28 mars 2014 à 19h30
Maison d'Europe et d'Orient - Centre culturel européen,
3 Passage Hennel 75012 Paris.
Tarifs : 7 € (plein) - 5 € (réduit) - 3 € (abonnés MEO)
Réservation vivement conseillée au (33) 01 40 24 00 55 (du lundi au vendredi)
Tarifs : 7 € (plein) - 5 € (réduit) - 3 € (abonnés MEO)
Réservation vivement conseillée au (33) 01 40 24 00 55 (du lundi au vendredi)
Correctif (01/02/2014)
Dans une première rédaction, nous avions écrit que le court-métrage « Je ne suis plus personne » était sélectionné au festival Ciné-Poème de Bezons, en partenariat avec Le Printemps des Poètes.
C'était un quiproquo, au sens propre, puisqu'il a été envoyé au festival Ciné-Poème - qui n'a pas encore bouclé sa sélection - mais sélectionné au festival Anthropologies Numériques. Nos excuses à l'un et l'autre.